Il y a des parcelles de mots qui s'échappent en filet de ma bouche, et il y a des perles au bord de ton regard. Tu as le sourire qui fait des ravages dans mon cœur.
Il y a des parcelles de terre pour lesquelles on s'étripe, et il n'y a que des perles de larmes là bas dans les regards.
Ces gens aimeraient aimer, on leur ravage le cœur, avant de les ravager eux, à coups de matraque.
Le monde n'est qu'amour et haine, et parfois, certaines théories pensent qu'il n'y aurait pas l'un sans l'autre. Moi, les jours de pluie je m'ennuie.
De la fumée s'échappe de cheminées immense, on crée des nuages artificiels, et ainsi la terre tourne à son rythme : effréné. Est ce que tu seras là, à me regarder toi, Dieu ou que sais je lorsqu'un jour quelque chose d'important m'arrivera ? Est ce que ce sera toi qui aura choisit que j'aille bien ? Tu es un salaud. Que t'ont-ils fait pour que tu les traites ainsi tes enfants ? Je ne vois pas en eux que des têtes de coupable. Et l'on se tue pour toi quelque soit ton nom. Quand est-ce que tout à foirer ? je n'arrive pas à le savoir. Peut-être dès que l'on s'est mis à parler de toi. Citer les choses les rendent immuables, ou presque. On t'a écrit un livre, on l'a nommé Livre, et juste après plus rien ne pouvait aller. Faisons comme si rien de ceci n'avait existé, faisons la paix ; ou essayons.
Je vois mes rêve en technicolor.
Les jours de pluie, moi j'm'ennuie.
Il y a des parcelles de terre pour lesquelles on s'étripe, et il n'y a que des perles de larmes là bas dans les regards.
Ces gens aimeraient aimer, on leur ravage le cœur, avant de les ravager eux, à coups de matraque.
Le monde n'est qu'amour et haine, et parfois, certaines théories pensent qu'il n'y aurait pas l'un sans l'autre. Moi, les jours de pluie je m'ennuie.
De la fumée s'échappe de cheminées immense, on crée des nuages artificiels, et ainsi la terre tourne à son rythme : effréné. Est ce que tu seras là, à me regarder toi, Dieu ou que sais je lorsqu'un jour quelque chose d'important m'arrivera ? Est ce que ce sera toi qui aura choisit que j'aille bien ? Tu es un salaud. Que t'ont-ils fait pour que tu les traites ainsi tes enfants ? Je ne vois pas en eux que des têtes de coupable. Et l'on se tue pour toi quelque soit ton nom. Quand est-ce que tout à foirer ? je n'arrive pas à le savoir. Peut-être dès que l'on s'est mis à parler de toi. Citer les choses les rendent immuables, ou presque. On t'a écrit un livre, on l'a nommé Livre, et juste après plus rien ne pouvait aller. Faisons comme si rien de ceci n'avait existé, faisons la paix ; ou essayons.
Je vois mes rêve en technicolor.
Les jours de pluie, moi j'm'ennuie.