20090124

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Tes sourires me défrisent, remise à niveau maladive. Tes sourires, je les conjugue comme je peux moi bonant-malant avec ma superbe à deux francs et ma culture trouée. La vie se termine toujours subitement alors qu'importe, tes sourires c'est la preuve que j'existe, tes sourires mon inculture au grand jour. Enjôleur sans l'être, lettre sans apostrophe, peut-être que dans le fond ce n'est pas de la vie mais de moi que tu te moques. Qu'importe la vie a des tournants toujours plus polis qu'apétissant. Oh, repousse moi mon amour car oui j'aime te faire la cours. Et c'est dans ce jeux frustrant qu'on s'aiguise une vie fatigante. J'écris, parce que je ne sais pas parler, j'écris car ce soir pour combler le vide à coup d'histoire vides.

J'aime le vent lorsqu'il me porte. Il s'est levé cet après midi. Demain, dès l'aube je me lèverais.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Aime moi je te fuis, fuis moi je te suis." Ce proverbe, même futile, n'existe pas pour rien. La course séductrice est toujours plus attirante que l'amour routinier. On se bat dans un idéal (presque) chevaleresque pour tenter de sortir d'un ennui profond. L'amour ou seulement l'attirance, c'est beau, ça donne (un peu) d'espoir. 23h passées je racontre vraiment des trucs sans intêret.

Bises