20090401

Moleskine molesté. Les yeux au ciel ///

La pluie tombe en jours, et les jours trempent le sol. A l'abri du vent de la folie, je te vois replié sur toi même, et l'histoire se répète dans ton regard : saturation de nuages, éclair, puis larme. Les tonnerres ne sont que les sanglots de Dieu.

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La musique se termine mais tu continus à avancer car tu sais que l'immobilisme c'est le vide. Tu danses, pour te sauver de ta perte. Tu vois sous tes pieds nus le sol de ta chambre devenir Jericho. L'Atlantide ressurgira un jour peut-être.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

No one will save this poor little lost soul.

Looks like Fate won again...