20090202

Une vie sinistre.

Au début y avait tes yeux, et maintenant y a mes ratures. tes lettres brûlent et j'envoie des signaux de fumé apaches à la terre entière. J'ai d'abord lacéré le vocabulaire pour qu'il t'aille mieux, et ensuite, j'ai commence à penser au pluriel. mais non, il fallait que je pense à toi, que je sois impersonnel. Je bois des cafés noirs et je serre les doses pour vivre plus longtemps le soir. parfois je me déconnecte du monde. Bloodshot eyes & migraines. La lumière glauque du métro voit mon retour à la vie. Vampire, ou bien pire : homo urbanus. Electrochoc et bruit de compression, les corps tout ça dans une orgie prude. Le buit du clairon, les rames qui se ferment et les veiunes qui s'ouvrent le soir quand on a rien d'autr eà faire.
Dans toutes les techniques d'autodestruction que l'humain peut employer j'ai choisis l'amour et en attendant je me délecte du désespoir sur le sol froid de mon appart jouant avec les volutes de fumés. L'encens brûle, et les odeurs sont écoeurantes. Dans une danse magique on se penserait aux portes du réel. J'iamerais déconnecter mon cerveaux quelques secondes de la danse du monde pour prendre du recul. les nuages s'ammassent dans un ciel qui un jour fut bleu.
Je me balade dans les rues de la grande ville, et je vie au rythme du spleen ; Manhattan Blues babe. J'aimerais que l'on me berce, alors en j'entend les cris de rages poussé comme des cris au secours sur des musiques formatés et insipides.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

S'arreter d'penser une minute ou deux. Motif recurrent de mes nuits perdues. Perdues a errer dans le tout paris. C'est beau une ville la nuit.

j'divague. Revenons dans l'contexte.

J'passe souvent ici, même si j'marque pas grand chose. j'aime pas répeter ce qui a été dit, & puis je pense que tu en as conscience alors j'en vois pas trop l'intéret (sourire).

Sache juste que j'admire.
Tes images comme tes mots(maux).