20090417

« J'étais un animal. Et je mordais comme l'on marche. »




Chronique de rêves sans pesanteurs, des choses d'humains sans scrupules :


J'écoute le silence provoqué par chacun de mes pas. Cette sensation... Comme si des "vides" s'entrechoquaient. Il y a l'écho des sons disparus qui me reviennent, comme des souvenirs brisés. Mes empreintes digitales forment une toile immense. J'ai perdu le sens des choses. Je regarde les murs, et je sais ; je veux les salir. Point, virgule. Virgule, point. Douce musique, virulence sans amour, bataille au poing : ma vie un simple Alexandrin. Dois-je en rire, dois-je aller au delà ? Je remplis des pages comme si de rien n'était : sans le savoir (vouloir ?) j'évolue.

1 commentaire:

Hérissone a dit…

T'aurais pas un air de Rocé par hasard ?