20090206

365 jours. // Il pleut et je m'invente une histoire : une vue panoramique.

Avec tes doigts, tu fais un triangle et tu regardes la vie à travers cette forme géométrique. Prisme Pink Floydien, Freud est mort et depuis on le cultive : on appelle ça modernisme. Des préceptes plus tard, on rie, tu tangues, le trop plein de couleur sans doute. Le blanc après le noir total agresse, une idée psychédélique plus tard je sens ton coeur battre plus fort. A terre, tu as des yeux bleus mais quand tu perces le ciel ?
La rage n'a pas de lettre, que de la ponctuation ; moi je mets de l'eau dans mon pastis, car mon vin je le bois pur. Le sang de Dieu et le mien qui se lient, au loin le ciel devient rouge, et c'est tout un monde qui part en fumée lorsque mes doigts claquent. La fumée, hors de ta cigarette ; hors du temps : des idées plein la tête. Accro , générationellement un badau sans intérêt. J'iamerais te parler de la colère sourde qui emplie mon coeur à point nommée.

Tu regardes la vie et elle est plein d'arbres d'oiseau et de pluie. De guitare douces, et de danses sourdes. l'été l'Italie et ces bouffes monumentales. ta peau bronze mon sourire blanc ; cheveux dans le vent. Tu seras une star américaine des 50s et moi un espèce de robert Redford ridicule, histoire d'avoir un chapeau et un complet gris. Je fumerais des gitanes et toi tu liras les lignes de ma main. Je craquerais mes allumettes avec le pouce.

Toi et moi, nos regards qui coulent de source et l'eau sucrée de tes regards. j'aimerais que l'on pue l'avenir.

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